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8 août 2015

Le président du «Conseil de l’Union sunnite» pakistanais: l’Arabie est le support de toute pensée wahhabite rongeant nos pays


Le président du «Conseil de l’Union sunnite» pakistanais Saheb Zada Hamed Rida assure que l’Arabie-saoudite n’a jamais représenté un exemple pour les musulmans sunnites dans le monde. Il estime que les musulmans ne sont point en lien avec la dynastie en Arabie, mais seulement aux lieux saints.

Lors d’une interview exclusive au site d’Alahed, Saheb Zada a souligné que les mesures prises par le «Conseil de l’Union sunnite» et le «Conseil de l’Unité islamique» pour lutter contre la sédition sunnite-chiite ont parfaitement réussi et ont enragé les bandes terroristes.

16ème réunion des représentants du Hezbollah et du Courant du Futur

A la 16ème réunion conjointe des représentants du Hezbollah libanais et de ceux du Courant du Futur, présidée par Saad Hariri, les deux parties se sont penchées sur la crise politique, la désignation des commandants de l’armée et des forces de sécurité, la crise des ordures ménagères et des coupures d’électricité.
Hossein Al-Khalil, sous-secrétaire général du Hezbollah aux affaires politiques, et un certain nombre des députés du Hezbollah, au Parlement, ont examiné, avec les représentants du Courant du Futur, les conditions politiques et la situation économique et sociale du Liban. Selon la déclaration finale de cette réunion, les participants ont discuté des voies de sortie de la crise politique, du vide politique et des questions sécuritaires, obtenant des résultats, à ce propos. 

Comment Obama compte-t-il avoir la peau d'Assad?

Frapper, à la fois, les troupes de Daech et «défendre» contre «toute attaque», les groupes soutenus par les Etats-Unis, c’est la nouvelle stratégie, qui vient d’être mise en œuvre par le Pentagone. Une inflexion, qui soulève des interrogations. Les Etats-Unis ont conduit des frappes aériennes, en Syrie, afin de porter secours au groupe armé "Nouvelle Syrie", soutenu et entraîné par les Américains. 
C’est la première fois que les frappes américaines ont pour but de «défendre» des rebelles "modérés", [hostiles à Bachar al-Assad, sans être des terroristes], attaqués par le groupe jihadiste Al-Nosra. Washington signe, ainsi, une inflexion stratégique, qui n’a rien d’anodin. 

6 août 2015

Daech, l'outil de domination inexpirable

Les Etats-Unis et la coalition internationale qu’ils ont créée pour lutter contre Daech ont fait un bilan décevant, tandis que leur ruse laisse douter de leurs vraies intentions.Jusqu’à présent, la coalition anti-Daech n’a su réaliser aucune avancée dans la lutte contre les terroristes de Daech. 
A ce propos, la chaîne CNN a rapporté, dans un reportage, que l’organisation terroriste de Daech semble être aussi forte que l’année dernière, avant le début des bombardements de ses positions et de ses forces, par les avions des Etats-Unis et de la coalition internationale. 
En outre, pendant ce temps, des centaines de civils ont été tués lors des raids aériens que les Etats-Unis prétendent mener contre Daech. Selon les derniers bilans, les attaques aériennes des Etats-Unis et de leurs alliés contre Daech en Syrie et en Irak ont laissé plus de 450 victimes parmi les populations civiles. Il est a rappelé que jusque ces derniers temps, la coalition prétendaient que seuls deux civils auraient été tués dans ses raids aériens.

Le Pentagone autorise des frappes contre l’armée syrienne

Selon le quotidien britannique « Times », le département américain de la Défense a donné l’ordre d’attaques les forces de l’armée syrienne aux pilotes américains.
C’est la première fois que le Pentagone a donné l’ordre à ses pilotes de guerres de prendre pour cibles les forces de l’armée syrienne, lors de leurs opérations.
Le Pentagone a précisé qu’au cas d’une attaque de la part des forces de l’armée syrienne contre les terroristes formés et armés par les Etats-Unis, les pilotes de guerre américains devront attaquer les forces de l’armée syrienne. 

Coup de Mistral ou avis de tempête, par Dominique Jamet

Alors que depuis plus d’un quart de siècle, le Rafale s’était acquis, bien malgré lui, la fâcheuse réputation d’être l’avion le plus invendable du monde, l’acquisition, à peu de temps d’intervalle – en rafale, pourrait-on dire – par l’Egypte, l’Inde et le Qatar, du modèle-phare des usines Dassault a été saluée à juste titre comme une excellente nouvelle, pour le constructeur, bien entendu, mais aussi pour l’industrie aéronautique française, dont on reconnaissait enfin l’excellence, et dont on assurait la prospérité en remplissant son carnet de commandes pour les années à venir. 
Peu de commentateurs ont eu le mauvais goût de s’interroger sur l’usage que feraient les acheteurs d’un chasseur-bombardier a priori peu fait pour les missions humanitaires ou la recherche scientifique.Lorsqu’il y a quatre ans la Russie avait passé commande à la France de deux bâtiments de projection et de commandement du type « Mistral », la presse et l’opinion s’étaient également réjouiesde la conclusion d’un contrat qui assurait la charge de travail de mille salariés des chantiers navals de Saint-Nazaire pour quatre années et qui là aussi valait reconnaissance du savoir-faire français en la matière. Nul ne pouvait cependant ignorer que le Mistral n’était ni un pédalo ni un bateau de plaisance ni un paquebot de croisière, mais bel et bien un navire de guerre.