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11 juin 2013

Quand les analystes financiers prévoient la fin de l'Euro pour le 17 Avril 2014....!


Ceci est un email publicitaire que je reçois régulièrement :

INFO...OU INTOX ?

Il a pour mérite en attendant de dévoiler ce que pensent et savent les experts de la Finance ... A la convergence des Soraliens, des Théoriciens du Complot et de Piero San Giorgio, il y a la vérité des Marchés que les Politiques se gardent bien de nous expliquer.....!

Nous informons nos lecteurs que nous n'avons en rien édulcoré ce texte. Il est un peu long, fastidieux et touffu mais il révèle néanmoins certaines vérités très peu médiatiques...

C'est là son intérêt. Bien sûr les arguments commerciaux un peu racoleurs sont à prendre "au 33eme degré" si on voulait du mauvais humour ! Nous vous souhaitons néanmoins bonne lecture !

Il y a 20 chances contre 1
que votre patrimoine soit détruit avant le 17 avril 2014

Ni votre banquier, ni vos élus, ni vos journaux ne vous préviendront.


Pourtant, en 2013, l'article 43 de la Loi de finances organise la faillite de la France : selon nous il y a 95% de risque que l'euro explose avant le 17 avril 2014 !

Dans cette lettre, je vous propose trois gestes simples pour extraire votre patrimoine de la pyramide de la dette et profiter de la reprise qui suivra son effondrement.

Ca lui a pris comme ça, un vendredi. Une petite vieille de Paphos, fichu sur la tête et canne à la main, se rendit à sa banque et en retira toutes ses économies.

Prévoyait-elle le pire ? Elle dut se tromper car elle retourna à sa banque le lundi et y déposa à nouveau le trésor de ses économies.

Le vendredi suivant pourtant, notre aimable grand-mère réitéra son opération. Dès lors, tous les vendredis, elle retirait consciencieusement ses économies pour les remettre à sa banque le lundi. Cette habitude étrange amusa vite son banquier et bientôt notre vieille fut officiellement déclarée folle.


Finalement, Paphos étant à Chypre et notre histoire assez récente, il se trouva un lundi de mars où la banque fut fermée et les économies de la petite vieille en sécurité sous son matelas. Son petit-fils, économiste de profession, lui avait commandé de faire ainsi. Il savait la situation des banques chypriotes et que s'il devait y avoir un problème, cela se passerait le week-end. Ainsi avait-il prophétisé.


Il n'y avait donc pas besoin d'être oligarque russe ou grand mage pour extraire ses économies de Chypre au moment de la crise bancaire. Il aura suffi d'un conseil de bout de ficelle à une petite vieille pour qu'elle fasse la nique à un système politique et bancaire pourri jusqu'à l'os.


Bien sûr, la France n'est pas Chypre, vous n'êtes sans doute pas une petite vieille et moi certainement pas votre petit-fils. Pourtant, selon mes calculs il y a 20 chances contre une qu'un événement précis vienne finalement faire éclater la Zone euro -- et mette en danger de mort tout votre patrimoine libellé en euros.


Et de même que, sans artifice ni génie, une grand-mère chypriote a pu résister à la faillite du système bancaire de son pays, je vous révélerai dans ce message 3 gestes simples, 3 remèdes que j'ai moi-même mis en oeuvre.

Ils sont presque évidents. Ils pourraient vous permettre de vous mettre à l'abri de l'effondrement de l'euro et de ses conséquences inéluctables sur vos avoirs libellés dans la monnaie unique et agonisante.

Le 17 avril prochain, il sera trop tard...
et peut-être l'est-il déjà


Ne cherchez pas dans la presse, l'événement dont je vous parle se produira hors de France, loin des courbes de chômage, des effets d'annonce et des prévisions de croissance. Ne vous attendez pas non plus à un événement d'ampleur exceptionnelle :

Le 28 juin 1914, l'assassinat de l'archiduc d'Autriche déclencha la Première Guerre mondiale. C'était pourtant une broutille au regard de la crise marocaine de 1905 ou celle de 1911 quand l'Allemagne envoya sa flotte prête à faire feu en baie d'Agadir, alors sous protectorat français.


Le 19 octobre 1987, le Lundi Noir fut la pire panique boursière de l'histoire moderne. La Bourse de New York perdit 22,6% en une journée. Pourtant, elle a paru incompréhensible sur le moment. "Cette chute des indices est intervenue en pleine période de prospérité de l'économie mondiale... personne n'y comprenait rien", se souvenait encore récemment un vendeur d'actions chez Global Equities.

Ce n'est pas différent en 2013. Après avoir survécu à la faillite de la Grèce et de Chypre, aux tourments espagnols, italiens et irlandais, c'est un événement mineur en apparence qui risque d'emporter la Zone euro par un effet de réaction en chaîne. Et selon moi, cela se passera avant le 17 avril 2014.

Bien sûr, l'événement que je prévois n'est pas le seul à faire planer une épée de Damoclès sur l'euro. Il faudra aussi surveiller le 22 septembre 2013 -- je vous dirai pourquoi.

Plus près de nous encore, la période estivale est propice aux cataclysmes alors que la population est au repos, endormie sous le soleil d'un repos mérité.

C'est bien dans ces moments-là que vous êtes à la merci d'un Etat et de ses banques aux abois.

Le conseil du jeune économiste chypriote à sa grand-mère est aussi à méditer. Oui, cela se passera sans doute un week-end, à un moment où les marchés sont fermés et vous, probablement distrait du drame qui se noue.

Et c'est votre patrimoine, vos économies qui sont en jeu. Livrets A, assurances-vie, obligations d'Etat, mêmes vos comptes courants sont exposés au danger. Comme vous allez le voir, ils seront en première ligne en cas de crise de la Zone euro.

Les déclencheurs, les causes et les remèdes


Je vais vous exposer dans cette lettre tous les événements, les indices qui s'accumulent. Vous y trouverez les déclencheurs imminents du drame qui pourrait balayer votre patrimoine, réduire à néant le fruit d'une vie de labeur et peut-être celui que vos aïeux vous avaient confié en héritage.

Au-delà du déclencheur, je vous dirai les raisons plus profondes qui nous ont menés à la crise actuelle et qui me font dire que non, loin s'en faut, nous n'en sortirons pas par le haut, mais par la chute, l'effondrement sec et brutal de la pyramide de la dette. Cet effondrement pourrait être imminent.

Enfin, comme je vous le disais plus haut, je vous expliquerai la stratégie en trois étapes que je vous recommande.

Elle est simple, concrète et pourrait vous permettre de vous protéger contre le délitement de la Zone euro -- et ses conséquences sur votre épargne et votre argent.

Je ne peux que vous encourager à peser soigneusement les mots et conseils qui vont suivre. Car si je souhaite à la mesure de mes moyens vous exposer la tempête qui vous menace, je ne crois pas qu'il existe meilleure personne que vous-même pour s'occuper de votre argent. Qui mieux que vous peut prendre les décisions dont votre fortune ou votre ruine dépendront ?

Une analyse indépendante
pour faire fructifier votre patrimoine

Je suis Simone Wapler, ingénieur et économiste. Je vous préviens d'emblée, mes travaux ne sont pas commandés par de grandes institutions publiques ou privées, ni banques, ni ministères. Je ne cherche pas les ors de la République. Je ne dépose pas mes conseils dans le creux de l'oreille de quelque grand dirigeant de ce monde, ni n'en reçois de ces derniers.

Si je cherche une oreille, c'est la vôtre. Mon objectif est simple : il ne s'agit pas ici de briller dans les dîners mondains mais de vous aider à faire fructifier votre patrimoine et le transmettre à vos enfants.

Or ce qui arrive, c'est l'explosion de la Zone euro. Elle s'accompagnera de la faillite de notre système bancaire et de celle de l'Etat français. Peut-être cette idée vous paraît-elle peu sérieuse. Croyez-moi, il n'en est rien.

J'ai ruminé mes idées longtemps, j'ai poussé mes idées jusqu'au bout. Depuis 13 ans, j'étudie l'impact des politiques économiques sur la vie de tous les jours et sur les patrimoines des Français. Le vôtre, le mien.

Depuis plus de 11 ans, je décortique l'incapacité de l'Etat à se réformer. L'année dernière j'ai publié un livre : Pourquoi la France va faire faillite. A mon étonnement il s'est vendu comme des petits pains ; en quelques semaines il était épuisé. La suite, Main basse sur votre argent, a été publiée récemment. Mais alors que j'en ai fini la rédaction en février, quelques mois ont suffi pour que la situation se dégrade à tel point que j'ai décidé de vous écrire cette lettre.

Mes lecteurs les plus fidèles pourraient vous dire que je leur ai recommandé mon premier placement anti-crise le 14 septembre 2007 : un certificat or physique. Pourtant, me direz-vous, l'or n'est plus vraiment un placement à la mode. Le métal jaune a dévissé de 150 $ entre le 12 et le 15 avril dernier, mettant tous les investisseurs en émoi. Pour autant, la plus-value latente de ce certificat est encore de 112% à l'heure où j'écris ces lignes, soit près de 25% annuels.

J'écrivais il y a près de six ans : "N'oubliez pas que les époques de grands dangers sont aussi celles des grandes opportunités. Je conclurai en laissant parler un mort plus qualifié que moi pour dicter sa conduite à la Fed : 'Le budget devrait être équilibré. Le Trésor devrait être renfloué. La dette publique devrait être réduite. Et l'arrogance des fonctionnaires devrait être contrôlée'. Cicéron 106-43 avant JC."

Vous voyez, en 2000 ans, les choses n'ont pas beaucoup changé. En six ans non plus, d'ailleurs : les fondamentaux sont les mêmes depuis 2007 et les raisons de la crise n'ont toujours pas été traitées.



L'Etat incapable de remonter la pente

Avez-vous vu vos politiques préparer le pays à l'éventualité d'une crise avant 2008 ?
Quelles réactions ont été celles des grands serviteurs de l'Etat ?

Comment, par exemple, la Cour des Comptes a-t-elle pu écrire à propos de la réforme de l'assurance-chômage en 2008 : "la phase finale des négociations s'est tenue après le déclenchement de la crise financière... Pour autant, les orientations de la réforme n'ont pas été modifiées... Aujourd'hui les conditions de financement apparaissent de plus en plus fragiles, tandis que les mesures ne sont pas de nature à enrayer la progression du chômage".

En effet, le chômage est au plus haut. Le triste record de 1997 a été battu ; le déficit de l'assurance chômage s'apprête à être multiplié par deux en un an pour atteindre la somme astronomique de cinq milliards d'euros, soit 300 000 années de salaire au SMIC.

En plus du chômage, la dette publique bat tous les records. Elle a franchi la barre symbolique des 90%.

En 2013, les impôts et prélèvements obligatoires sont devenus en France les plus hauts de la Zone euro. Avec 46,5% de prélèvements obligatoires, les Français sont sur la deuxième marche du podium des peuples les plus imposés au monde, juste après le Danemark. La tranche d'imposition à 75% a estomaqué le monde entier (sauf peut-être la Corée du Nord et Cuba).

Les entreprises françaises ont les marges les plus faibles d'Europe -- 10% sous la moyenne de la Zone euro -- et leurs carnets de commandes sont vides.

Les collectivités locales, dont les charges explosent et les recettes fondent, sont aux abois.

Nous traversons une grave crise de l'exécutif, dont l'affaire Cahuzac n'a été que le déclencheur et...

... Naturellement le peuple, de droite comme de gauche, gronde.

Telles sont déjà les conséquences d'une inertie dramatique et généralisée. Malgré un remède de cheval -- 64 milliards d'euros d'impôts nouveaux ces trois dernières années, les finances publiques continuent de se détériorer.

C'est à croire que nos dirigeants se trompent de remède et, plus grave encore, persistent diaboliquement dans leur erreur. Car sur les premiers mois de 2013, alors même que l'Etat s'est engagé à faire passer son déficit de 4,8% de PIB à 3,7% (au lieu des 3% encore prévus au 1er janvier 2013), les comptes publics continuent de se détériorer et laissent présager le pire.

Comment en est-on arrivé là ?

L'explication est aussi simple que paradoxale : il y a trop d'argent.

Depuis le début des années 2000, on observe une augmentation considérable de la monnaie en circulation dans le monde. Celle-ci a été multipliée par six depuis 10 ans : c'est trois fois plus que les échanges mondiaux sur la même période (ils n'ont été multipliés "que" par deux).

Si on peut estimer que cette augmentation de monnaie a permis de financer l'incroyable essor des économies émergentes, Chine en tête, cet argent facile a aussi généré des phénomènes de bulles.


L'argent s'est stocké dans des placements attractifs dont la valeur a monté artificiellement à cause de cet afflux de liquidités : il y a eu la bulle internet au tout début des années 2000, puis la bulle immobilière américaine qui a déclenché la crise en 2008 et aujourd'hui la bulle obligataire d'Etat.


L'argent facile émis par les banques centrales a permis de financer les déficits des Etats occidentaux sans que ceux-ci aient besoin de mettre en place les réformes cruciales à leurs équilibres budgétaires.


Ainsi les dettes ont gonflé sans que leur coût n'incite à équilibrer nos comptes publics.


Lorsque les dettes sont devenues problématiques, les banques centrales se sont mises à émettre encore plus d'argent pour sauver leurs Etats au bord de la faillite -- entraînant encore plus d'effet de bulle. C'est ainsi qu'en 2011, la BCE a racheté pour 1 000 milliards d'euros de dettes publiques de la Zone euro.


La Banque des règlements internationaux, vénérable grand-mère des banques centrales, n'a pas mâché pas ses mots lors de la publication de son rapport annuel l'année suivante :


"L'extraordinaire persistance de politiques monétaires laxistes est à mettre sur le compte des gouvernements dont l'action est insuffisante pour régler leurs problèmes structurels. Bref, les banques centrales sont acculées pendant que les gouvernements traînent des pieds et remettent leurs réformes à plus tard".


Comme vous pouvez voir sur le graphique ci-dessus, la base monétaire a connu une baisse momentanée en 2008 avec l'éclatement de la bulle immobilière. Elle commence à s'infléchir à nouveau en 2013... ce qui pourrait laisser présager de l'éclatement de la bulle de dette.


En effet, l'argent créé depuis 10 ans ne correspond pas à plus de création de valeur par l'économie mondiale. En fait, il ne correspond à rien. Une maison américaine dont la valeur moyenne a été multipliée par trois entre 1997 et 2007 n'a pas changé ; c'est exactement la même, elle n'est pas devenue trois fois plus vaste en 10 ans. Elle a d'ailleurs de nouveau perdu la moitié de sa valeur depuis 2008.


La dette de la France a augmenté de 50% depuis le début de la crise. Mais ces 600 milliards d'euros de nouvelles dettes ne correspondent à aucun investissement, rien qui nous permettra à l'avenir de dégager des excédents pour rembourser notre dette. Nous avons consommé cet argent en redistribution, aides sociales et administration publique pléthorique. Or il nous faudra bien un jour solder cette dette :


- soit en l'annulant et flouant nos créanciers ;


- soit en la diluant dans de l'inflation, ce qui revient au même ;


- soit en la payant au prix d'immenses efforts de la part de l'Etat et d'une réorganisation drastique de la redistribution.


- soit, et c'est la solution la plus simple, en piochant dans l'épargne financière des Français pour la rembourser immédiatement.

Or il se trouve que les dépôts (votre compte courant, votre livret A, votre PEL...) qui constituent l'épargne disponible des Français se montent à 1 780 milliards d'euros. En parallèle, la dette française a passé cette barre en 2012 pour s'établir à 1 833 milliards d'euros début 2013.
La pyramide des liquidités d'Exter
Il se trouve que la crise que nous vivons en ce moment avait été anticipée par un économiste trop méconnu : John Exter, vice-président, en son temps, de la Réserve fédérale de New York.
Le constat d'Exter est simple. L'argent prend différentes formes : or, pièces et billets, billets de trésorerie, actions, produits dérivés... Ces formes sont plus ou moins sûres, plus ou moins liquides. Par exemple, il est plus facile d'échanger un billet de banque qu'une action d'entreprise avec laquelle on ne pourra jamais acheter son pain.A partir de là, John Exter organisa les différentes formes de l'argent en strates plus ou moins sûres, plus ou moins liquides, ces strates formant une pyramide inversée que voici :

Selon Exter, l'or est la forme de monnaie la plus sûre. Même si votre Etat fait faillite et que vos billets perdent toute valeur, vous pourrez toujours échanger une pièce d'or. De l'autre côté de la pyramide, les produits dérivés sont les actifs les moins sûrs, comme l'a d'ailleurs prouvé la crise de 2008.

L'idée d'Exter est que la monnaie circule entre les différentes strates plus ou moins risquées.

La pyramide d'Exter a été élaborée dans les années 1950 puis adaptée aux produits dérivés qui n'existaient pas à l'époque. Si vous ne connaissiez pas la pyramide d'Exter, regardez-la bien.

En temps de croissance, la confiance fait que la monnaie se déplace facilement vers les strates les plus hautes et les plus risquée de la pyramide. Au contraire, en temps de crise, incertitude et inquiétude font tomber les capitaux vers les strates les plus liquides de la pyramide, c'est-à-dire les plus basses, vers les formes dont l'investisseur pense qu'il pourra toujours les échanger.

Lors de la crise de 2008 la fuite des actifs s'est faite dans le sens de la circulation de haut en bas prévue au sein de la pyramide :

- D'abord les produits dérivés se sont effondrés suite à la crise du crédit subprime,
- l'immobilier américain s'est effondré lui aussi,
- puis les marchés financiers.
Les banques centrales ont alors tenté de stopper ce phénomène de contraction de la masse monétaire en imprimant sans limite de la nouvelle monnaie. Ce faisant, elles n'ont que déplacé, retardé et amplifié le dénouement de la crise. La masse de monnaie créée par les banques centrales s'est nichée dans les titres de dette des Etats et sur les marchés boursiers et obligataires.


Finalement, la cause de la crise -- une trop grande abondance de monnaie, comme vous l'avez vu -- a été amplifiée. Pendant ce temps, aucune réforme d'envergure n'a été menée... et nous voilà en 2013 dans la même situation que 2007, sauf que les Etats ayant transféré le risque sur leurs comptes, ce n'est pas la maison d'un Américain qui s'apprête à s'écrouler mais la France dont la dette est devenue -- avec celles des autres Etats occidentaux -- une immense bulle financière prête à exploser avec pertes et fracasIn fine, selon la logique d'Exter, pièces et billets eux-mêmes perdent leur valeur, la monnaie disparaît et toute la valeur qu'elle portait se déplace vers l'or.


John Exter appliqua sa théorie à son propre portefeuille, qu'il plaça entièrement en or à partir de 1969. En 1971, Nixon, en suspendant la convertibilité en or du dollar, fit entrer John Exter dans la légende. Exter devint richissime grâce à l'envol des cours de l'or.


Aujourd'hui la pyramide se lézarde à nouveau ; la fausse monnaie ne suffira plus à replâtrer les fissures.


Au PDG de JP Morgan, Jamie Dimon, on demandait il y a peu s'il avait peur que l'Etat américain ne puisse bientôt plus emprunter, faute de créanciers. Voilà sa réponse :


"C'est une certitude. La seule question est quand et comment -- mais cela arrivera, les Etats-Unis ne peuvent emprunter indéfiniment. Regardez depuis des centaines d'années, les banqueroutes de pays s'enchaînent les unes après les autres, encore et encore. Et peu importe qu'on soit la monnaie de réserve ou les gendarmes du monde".


Inutile de vous dire que quand la bulle des dettes publiques éclatera, que ce soit en euro ou en dollar, les dégâts seront énormes. Pour contrecarrer cette chute, il ne restera plus qu'une solution : toujours plus d'impression monétaire... et d'une manière ou d'une autre, la faillite. Certes, ce n'est pas le seul scénario... mais c'est tout du moins le plus probable selon l'analyse de la pyramide d'Exter.


Petit à petit, les théories de John Exter refont surface. Comme le note un rapport de la Banque des règlements internationaux : la compréhension de l'économie n'est pas cumulative. Ce que nous appelons "leçons" sont apprises, oubliées, apprises de nouveau et de nouveau oubliées... L'économie aussi a ses modes et ses manies.


La notion de cycles financiers et leur impact sur les cycles économiques ne fait pas exception. Elle a progressivement disparu des radars après la Deuxième guerre mondiale. Que de chemin parcouru depuis la crise !



La pyramide de la dette est prête à s'effondrer


Nous sommes maintenant dans une situation inédite. L'inconnu. Comme si nous étions passés de l'autre côté du miroir. Pour la première fois en Europe, les Etats et les banques centrales ont transféré le risque des banques commerciales sur leurs propres comptes.


En effet, en 2011, les banques européennes étaient mal en point : on apprenait que les dettes des Etats seraient en fait des placements spéculatifs... La Grèce fait faillite à ce moment-là -- dans les faits sinon sur le papier. L'Italie et l'Espagne ont des sueurs froides. La France attend son sort. Finalement, la BCE échange aux banques commerciales leurs dettes pourries de nos vieux Etats contre de l'argent frais qui sert à... racheter des dettes de ces mêmes Etats.


Evidemment, comme la pression sur les dettes souveraines baisse par l'action musclée de la BCE, on se dit que les dettes de l'Italie et de l'Espagne ne sont peut-être pas si spéculatives, c'était l'objet de l'opération. Elle a le mérite de laisser du temps pour les réformes. C'est là que le bât blesse : de réforme, il n'y en a point eu.


Le système est pervers. Les banques commerciales n'achètent pas autant de dettes souveraines par insouciance. La réglementation Bâle III, définie au début des années 2000, les y incite car selon les critères de Bâle les dettes souveraines n'ont pas besoin de contrepartie.


En clair, les banques n'ont pas besoin de mettre de liquidités de côté pour le cas où un Etat ferait faillite. Et comme Bâle III impose de lourdes contreparties pour les autres classes d'actifs, les banques équilibrent leurs comptes avec des palanquées de dettes souveraines.


Au passage, le comité de Bâle regroupe les grandes banques centrales, celles-là mêmes qui rachètent les dettes souveraines douteuses après avoir incité les banques commerciales à les acheter... Ces politiques monétaires profitent bien évidemment aux Etats exsangues et impuissants et au système bancaire chargé de mauvaises dettes qui ne seront jamais remboursées... Et c'est vous, par l'intermédiaire de vos dépôts, qui garantissez ce petit manège.


Ce n'est plus l'euro qui garantit votre épargne, c'est votre épargne qui garantit l'euro.


Mais il y a plus grave...



L'Article 43 de la Loi de finance 2013
organise les conditions du défaut de l'Etat français


Personne ou presque n'a vu passer cet article. C'est une appellation de Bruxelles à la dénomination vague et sans intérêt : Instauration des clauses d'action collective dans les contrats d'émission de titres d'Etat.


C'est assez pour dégoûter nombre de journalistes... et c'est bien dommage.


Que dit-il, cet article ?


Il facilite la restructuration de la dette d'un Etat de la Zone euro dans l'éventualité où il se révèlerait dans l'incapacité d'honorer ses engagements financiers... Par solidarité entre les Etats membres de la Zone euro, l'ensemble de ces Etats s'est engagé à introduire de telles clauses. Compte tenu des excellentes conditions de financement dont bénéficie actuellement la France, leur activation au niveau national est très peu probable.


Il suffisait de le dire. Mais continuons :


Concrètement, l'Etat est ainsi autorisé, s'il obtient l'accord d'une majorité de créanciers, à modifier ses conditions de remboursement. Cet accord résulte d'un vote à la majorité. La détermination des modalités d'exercice de ce vote et du seuil de majorité est renvoyée à un décret.


La modification proposée par l'Etat s'applique aux créanciers minoritaires l'ayant refusée.


Cet article ce cache dans la sous-partie autres dispositions de la partie Affectation des ressources... page 123 d'un document de 257 pages.


Suffirait-il donc de placer une mesure assassine n'importe où et de l'affubler d'un titre grotesque pour que personne ne s'en émeuve ?


Car que fait ce texte ? Il pose un cadre légal pour faciliter la "renégociation" de la dette d'un Etat de manière unilatérale. Concrètement, cet article revient à donner le droit à la France d'annuler, légalement et simplement, tout ou partie de sa dette... au nez et à la barbe de ses créanciers -- dont, faut-il le rappeler, vous faites partie.


Le texte de l'article fait passer la mesure pour une précaution d'usage et un soutien envers les pays plus fragiles de la Zone euro -- mais un esprit chagrin pourrait aussi y voir un jalon vers la faillite de l'Etat Français.


En tout cas, si vous n'avez pas encore pris vos précautions... d'autres l'ont fait avant vous.



La fin de la Zone euro avant le 17 avril 2014 ?


Je vous le disais d'entrée, il y a 20 chances contre 1 que l'euro éclate avant le 17 avril 2014. Cela entraînerait la faillite de la France -- qui, vous venez de le voir, s'y prépare-- et porterait un coup fatal à votre patrimoine financier.


Je vous disais aussi que les causes de l'éclatement ne seraient sans doute pas à chercher en France ni en Italie ou en Espagne, ni même en Grèce ou en Slovénie.


C'est par l'Allemagne que l'euro chutera. Non pas que l'Allemagne le veuille, mais l'économie qui porte toute la zone à bout de bras est en train de flancher. Depuis quelques mois, les chiffres sont décevants, la croissance pas tout à fait au rendez-vous et surtout le ralentissement chinois fait craindre pour les exportations germaniques.


De plus, le 17 avril dernier, Egan-Jones, une petite agence de notation indépendante -- la seule qui ne soit pas liée à Wall Street -- a dégradé la note de l'Allemagne, dernière grande économie de la Zone euro à détenir le précieux sésame du AAA. Or Egan-Jones avait dégradé les Etats-Unis juste un mois avant que Standard & Poor's ne s'y résigne. Plus généralement, depuis 2001, les changements de note d'Egan-Jones ont été suivis dans 95,14% des cas par au moins une des trois grandes agences de notation financière dans l'année qui suivit le changement de notation. D'où ma date butoir du 17 avril 2014.


Ainsi c'est déjà un petit coup de semonce qu'a reçu l'Allemagne. Son principal indice boursier, le DAX, perdait près de 2% le jour de l'annonce de la petite agence de notation.


Or si les dégradations des notes financières des Etats-Unis ou de la France n'ont pas eu de grands effets sur les économies de ces pays, la situation est différente avec l'Allemagne. Celle-ci joue tout d'abord le rôle de rempart pour les économies plus faibles de la Zone euro, elle n'a donc pas le droit de fléchir. Moody's a d'ailleurs affirmé que si un des pays AAA de la Zone euro devait être dégradé, le Fonds européen de stabilité financière (FESF) le serait aussi.


Comme déjà 15 pays de la Zone euro sur 17 sont placés sous surveillance négative, cela provoquerait une réaction en chaîne : les taux d'émission de dette augmenteraient rapidement, empêchant les Etats de se refinancer et entraînant l'éclatement de la zone.


En plus, 2013 est une année chargée en refinancement. Au total, c'est 30% de la dette de long terme des pays de l'OCDE et donc de l'Europe qui doit être refinancée dans les trois prochaines années. Par "refinancer", comprenez que pour rembourser la dette venant à échéance, il faut en émettre une nouvelle. Le procédé passe comme une lettre à la poste lorsque les taux baissent... mais ce n'est plus du tout la même chose lorsque les taux d'intérêt augmentent.


Il faut encore noter les échéances électorales en Allemagne le 22 septembre 2013. Elles vont ajouter de l'incertitude et peut-être voir la montée d'un jeune parti anti-euro qui a beaucoup fait parler de lui : Alternativ für Deutschland.



Une réflexion permanente, un suivi en continu


Cette idée que je vous propose aujourd'hui n'est pas sortie d'un chapeau. Elle est la synthèse de cinq ans de réflexion en continu. Elle est le résultat d'un dialogue quotidien avec mes lecteurs. Au travers de deux lettres d'information et de conseil en investissement, j'ai envoyé depuis l'automne 2007 plus de 575 messages à mes lecteurs. C'est comme cela que je les ai avertis de la crise de 2008 ou du risque des obligations grecques.


Voyez-vous, j'étais moi-même lectrice avant de devenir rédactrice aux Publications Agora. L'acuité de mes prédictions repose autant sur mon travail acharné pour trouver chaque gisement d'opportunité que sur notre indépendance totale envers les pouvoirs politiques et financiers -- sans compter et le travail d'une équipe internationale de spécialistes et d'analystes.


Ce travail, nous le réalisons au sein des Publications Agora, une maison d'édition dédiée aux investisseurs particuliers. Nous avons des bureaux dans huit pays et 20 millions de lecteurs dans le monde. Notre spécificité est d'être à 100% consacrés à l'intérêt de nos lecteurs. Pas d'actionnaires envahissants, à peine de publicité, seulement de l'intelligence collective pour tous ceux qui cherchent à sortir des sentiers battus de la pensée formatée.


Nous revendiquons férocement notre indépendance d'esprit et l'intérêt de nos lecteurs.


Je voudrais vous montrer ce qu'une structure comme la nôtre, agile, collective et indépendante peut faire.


Je voudrais vous inviter à nous rejoindre.


Vous ne verrez pas nos publicités à la télé ou dans les grands journaux du soir. Si vous me lisez aujourd'hui, c'est que vous êtes intéressé par des stratégies alternatives, issues d'une vision sans concession de notre économie.


Et il vous faut dès maintenant penser à organiser votre patrimoine pour affronter au mieux tout ceci.


Il y a tout de même une bonne nouvelle : il existe...



Une arme secrète contre le chaos qui menace


Mieux encore : cette arme secrète, vous pouvez vous la procurer aujourd'hui même, simplement et rapidement.


Voyez-vous, dans les temps de crise aiguë, l'avantage va à celui qui possède un atout essentiel -- l'information.


Et plus précisément, la BONNE information, au BON moment.


En matière d'investissement et de préservation du patrimoine, il faut savoir ce qui se passe vraiment... comprendre et décrypter les informations qui arrivent... et parvenir à en anticiper les conséquences pour vous.


C'est exactement ce que je vous propose aujourd'hui. Je vous le disais, je fais partie d'un réseau de spécialistes réparti partout dans le monde.


Nous observons les événements sans nous laisser dérouter par l'hystérie ambiante...


Nous interprétons l'actualité sans avoir peur de regarder la réalité en face...


Nous surveillons des signaux souvent ignorés par le grand public...


Nous analysons les faits en toute lucidité, pour en tirer des stratégies et des recommandations concrètes et claires, que VOUS pouvez appliquer à votre argent.










Très simplement, mon objectif est de vous aider à avoir un temps d'avance, celui qui vous met du bon côté, celui des fortunes qui se font. Et j'aimerais commencer dès maintenant, avec ceci :



Protégez-vous dès maintenant grâce aux 3 secrets
que je voudrais vous révéler


Clairement, le plus grand danger pour vos finances actuellement, c'est l'apathie -- rester les bras croisés à attendre que nos autorités "fassent quelque chose".


Si ce message vous a fait au moins comprendre que les dirigeants politiques, économiques et financiers mondiaux sont dans l'impasse, à bout de ressources... eh bien, j'aurai atteint mon objectif. Peut-être que vous déciderez alors de prendre des mesures pour couvrir votre patrimoine et protéger votre argent... et donc votre mode de vie.


Maintenant, j'aimerais vous proposer de faire encore plus.


Voyez-vous, toutes les recherches que j'ai faites pour élaborer le message que vous avez sous les yeux ne m'ont pas seulement servi à définir le danger... Elles m'ont également permis de mettre en place une stratégie concrète. En trois étapes simples, vous pourriez mettre votre épargne à l'abri.


Et même, si tout se passe comme je le prévois, vous pourriez vous en sortir bien mieux que le reste des investisseurs.










Je le répète : rien qu'en lisant ce message jusqu'à maintenant, vous avez déjà pris de l'avance sur des millions de Français. Contrairement à eux, vous êtes informé de la réalité de la situation. Maintenant, en prenant ces trois mesures simples sans attendre, vous pourriez être en route pour la sécurité... alors que le désastre s'abat sur notre pays.


Ces trois mesures, je les détaille dans un rapport exclusif, que j'ai intitulé La France va faire faillite : comment mettre votre patrimoine à l'abri. Ce rapport m'a demandé, à moi et à mon équipe, de très longues heures de travail. Mais il me semblait essentiel de vous donner des armes qui vous aideront à surmonter les très graves difficultés qui nous attendent.


A commencer par mon...



SECRET N°1 :
Votre antidote contre le mensonge de la fiabilité
des obligations souveraines françaises


Les obligations françaises pourraient bientôt n'avoir pas plus de valeur que le papier sur lequel elles sont imprimées. La faillite et l'inflation mettront à mal les titres du Trésor français... et l'euro dans lequel ils sont libellés.


Si vous avez des obligations françaises dans votre patrimoine, je n'aurais qu'un conseil : débarrassez-vous-en. Sans attendre. Et concentrez-vous sur une autre catégorie de titres, qui pourraient profiter de ce terrible engrenage : les obligations de pays émergents.


C'est simple : si la faillite de la France et la dévalorisation, voire le délitement, de l'euro se produisent... les monnaies des économies émergentes se valoriseront. C'est mécanique. Ces pays ont déjà pris des mesures pour lutter contre l'inflation, et les taux d'intérêt y sont déjà plus élevés : deux facteurs de profit potentiel sont ainsi à portée de main... tout en vous permettant de "sortir" votre argent des marchés développés -- qui sont désormais plus dangereux que les marchés émergents.


Rassurez-vous, il ne s'agit pas d'aller risquer votre argent dans des pays dangereux, sur des marchés difficiles et illiquides. Non... j'ai soigneusement sélectionné pour vous un placement unique, que vous pouvez acheter en toute simplicité et en toute sécurité depuis la France.


Ce titre vous permettra -- en une seule position -- de profiter de tout le potentiel des émergents asiatiques (Hong Kong, Singapour, Corée du Sud, Indonésie, Chine...). L'objectif de cette stratégie est de vous permettre de profiter de l'évolution des monnaies locales sans en subir les inconvénients -- et d'avoir en fond de portefeuille un titre qui évoluera et mûrira au fil des ans, en même temps que ces pays en plein développement.


Réfléchissez-y : je vous propose d'échanger les titres de pays en pleine crise, dont la monnaie ne tient plus qu'à un fil, contre un investissement simple dans une zone géographique vigoureuse, en pleine croissance... et qui a tout l'avenir devant elle.


Et ce n'est pas tout. Permettez-moi de vous présenter la deuxième étape de ma stratégie de survie financière...



SECRET N°2 :
Ayez de l'or, du physique, du vrai,
c'est également indispensable


Une telle recommandation peut paraître surprenante. Après tout, l'or a subi un gros revers courant avril 2013, passant sous les 1 500 $ l'once.


Mais il ne faut pas perdre de vue le contexte plus large. Au plus fort de la crise du crédit subprime, les autorités voulaient de l'inflation, voulaient que leur monnaie soit faible face au dollar, lui-même faible. Les autorités ont donc imprimé beaucoup de papier monnaie sans aucune contrepartie.


Le papier s'est multiplié, mais pas la richesse. Et l'énorme cohorte des chômeurs met les prix des biens et services sous boisseau.


Un rapport de l'Organisation internationale du travail daté d'avril 2012 soulignait la gravité de la situation de l'emploi dans le monde. "202 millions de personnes seront au chômage cette année, six millions de plus que l'an passé", selon l'OIT.


Les autorités voulaient de l'inflation. Elles ne l'ont pas obtenue. L'argent imprimé est resté bloqué dans le circuit financier. Jusqu'à quand ?


L'argent imprimé est une malhonnêteté. Il donne du pouvoir d'achat sans contrepartie de travail. Pour un individu, cela s'appelle être un faux monnayeur et c'est l'un des crimes que les Etats considèrent comme le plus grave, juste derrière l'homicide. Pour un Etat, en revanche, cela s'appelle des "mesures non conventionnelles", du quantitative easing, du twist, de la création monétaire. Mais le résultat est le même : c'est de l'argent obtenu sans recettes fiscales, sans pression fiscale.


Comme le dit Dylan Grice, économiste de la Société Générale, dans une note intitulée Un marché honnête : 10 000 $ l'once d'or est-elle une juste évaluation ? (The market for honesty : is $10 000 gold fair value?) :


"Laissez-moi vous expliquer pourquoi j'estime qu'imprimer de la monnaie est un comportement fondamentalement malhonnête. Imaginez la manière dont cela fonctionne. Quand la Banque centrale accroît la masse monétaire de 1% pour un coût nul, où cet argent va-t-il ? Réponse : sur le marché des obligations gouvernementales. Puisque imprimer de l'argent pour acheter des obligations souveraines ne coûte rien, les recettes du gouvernement sont obtenues gratuitement. Bien sûr, les autorités achètent ces obligations sur le marché secondaire plutôt que directement auprès du gouvernement et on simule une transaction entre le gouvernement et sa banque centrale. Toutes les parties revendiquent une séparation entre la politique monétaire et la politique fiscale. Mais c'est seulement un simulacre. En émettant des obligations qu'il se revend, le gouvernement paraît avoir miraculeusement augmenté ses recettes sans avoir débité quiconque. [...] Cependant, l'argent gratuit n'existe pas et ne peut exister. Quelqu'un, quelque part, doit payer. Mais qui ? C'est là où la malhonnêteté devient subtile car la réponse est que personne ne sait".






Plus précisément, personne ne sait pour l'instant. Mais personne ne voudra être celui qui devra payer. C'est à ce moment que la monnaie brûlera les doigts et que nous basculerons dans l'hyperinflation. L'or sera probablement à 10 000 $ ou 8 000 euros l'once, mais peu importe. Ce ne seront pas les mêmes dollars ou les mêmes euros.


Lorsque je vous parle d'or ici, il s'agit d'or façon survivaliste : sous forme de pièces avec zéro risque de contrepartie.... mais surtout pas dans une structure quelconque du système bancaire, ou sous forme de papier, puisque cet or serait justement l'antidote contre l'intoxication mortelle du système financier. Et c'est précisément cette solution que je vous présenterai dans mon rapport La France va faire faillite : mettez votre patrimoine à l'abri -- un moyen de détenir du métal jaune sous sa forme physique... à l'abri du secteur bancaire... mais sans être obligé de l'enterrer au fond de votre jardin !


Avec votre or, vous aurez ainsi du cash capable de résister à la bêtise destructrice des autorités.


Et en agissant sans attendre, vous profiterez même de la baisse des cours pour l'acquérir à un bon prix.


Maintenant, voilà la dernière étape de ma stratégie...



SECRET N°3 :
Contre les dangers de l'hyperinflation, misez sur du concret


Mon premier secret a pour but de vous aider à vous couvrir contre les dangers qui menacent la Zone euro. Le deuxième vise à vous permettre de vous assurer une réserve de cash solide et qui ne disparaîtra pas de sitôt.


Mon troisième secret vous aidera à lutter contre les effets néfastes des devises papier manipulées, faussées et basées sur des créances souveraines pourries.


Il s'agit tout simplement de miser sur des choses tangibles -- des actifs qui ne s'évaporent pas en temps de crise... et qui sont indispensables au fonctionnement de nos sociétés modernes, ralentissement ou pas. Je veux parler bien entendu des matières premières... mais pas n'importe lesquelles.


Il est vrai qu'il est difficile pour un investisseur particulier de bien investir dans les matières premières. Le champ est vaste : produits agricoles, énergie, métaux de base, métaux précieux... Les contrats à terme restent un outil pour les professionnels, et les certificats valant part de contrats à terme vendus par les établissements financiers ont beaucoup de frais et ne suivent pas fidèlement le sous-jacent. Sans oublier que tout ceci n'est que du papier, sans grande valeur en cas de faillite bancaire !


Là encore, j'ai fait de longues recherches pour vous proposer une recommandation bien précise : il s'agit d'un fonds un peu spécial. Cette société canadienne se veut une société d'entrepreneurs soucieux de la préservation de richesse. Elle investit par tous les moyens : prises de participation minoritaires ou majoritaires dans des entreprises cotées ou non, achats en direct de matières premières, joint venture...


Qui plus est, le portefeuille se concentre actuellement sur des matières comme l'énergie, les métaux précieux et les matières agricoles : des secteurs qui résistent traditionnellement bien aux aléas économiques.


Avec ce titre, en une ligne de portefeuille, vous acquérez des actifs réels bien diversifiés situés majoritairement au Canada... et une solide couverture contre la hausse des prix des biens tangibles et la baisse de l'euro.


Vous avez désormais les bases de ma stratégie ; trois placements "de fond", qui devraient selon moi vous aider à traverser les difficiles années qui viennent en toute sérénité. Je suis si convaincue de leur importance que j'aimerais vous offrir le rapport La France va faire faillite : mettez votre patrimoine à l'abri en cadeau.


Je vous expliquerai comment le recevoir dans quelques lignes, mais avant cela, il faut que vous compreniez une chose : à elles seules, ces trois recommandations ne suffisent pas. Pour vous aider à atteindre la vraie indépendance financière, vous avez besoin du...



SECRET N°4 :
Osez notre stratégie 100% confidentielle


Je vous le répète, les années à venir vont amener des bouleversements économiques et sociaux profonds. Tous vos placements sont particulièrement exposés. Il est possible que vous doutiez déjà de la valeur de votre immobilier et de votre assurance vie...


Vous n'avez pas tort. Néanmoins, pas de panique ! La bonne nouvelle, c'est que vous pouvez aussi augmenter votre patrimoine pendant la crise à venir.


C'est là que La Stratégie de Simone Wapler entre en scène.


Qu'est-ce qu'est exactement ? Eh bien, c'est très simple : votre banquier ou conseiller financier ne vous aidera PAS à vous adapter à ces bouleversements. Idem pour les autorités, qu'elles soient françaises, européennes ou mondiales. La désinformation règne, de même que la politique de l'autruche et la langue de bois économique.


La Stratégie de Simone Wapler, c'est exactement le contraire. Tout est contenu dans le titre.


Dans ce nouveau service, vous découvrirez des conseils concrets et des recommandations claires pour vous guider dans les mois et les années difficiles qui nous attendent sans doute. Une vision lucide de la réalité économique, avec une stratégie solide pour y réagir.


Je ne laisserai aucun domaine au hasard. Ma stratégie est complète, c'est-à-dire qu'elle concerne tous les aspects de votre patrimoine. Je vous révélerai par exemple...


... Où se trouvent d'après moi les meilleures sources de rendement, alors que les marchés actions s'enfoncent, en France comme à l'étranger.


... Comment gérer votre allocation d'actifs de manière à limiter vos risques au maximum tout en optimisant chacune de vos positions.


... Comment vous constituer une retraite indépendante, qui pourrait vous permettre de maintenir votre niveau de vie malgré la faillite -- dans les faits sinon sur le papier -- de l'Etat-Providence.


... D'où viendront les prochaines bulles, les pièges qui attendent les investisseurs -- et surtout comment les éviter.


... Des conseils et des placements pour sécuriser votre argent face à l'inflation, à l'augmentation des impôts et à la baisse du pouvoir d'achat.










Et bien d'autres choses encore. Or, immobilier, fiscalité, assurance-vie, liquidités... Avec La Stratégie de Simone Wapler, nous serons toujours là pour vous aider à y voir plus clair dans l'actualité financière et économique -- et surtout à y adapter votre patrimoine.


Voilà pour la "ligne de conduite" de cette nouvelle publication. Mais vous vous demandez sans doute ce que vous recevrez concrètement.


D'abord, vous recevrez le rapport complet La France va faire faillite : comment mettre votre patrimoine à l'abri -- par e-mail, pour un maximum de réactivité.


Tout au long de ce rapport, je vous expliquerai ce qui se passe selon moi, et comment vous devriez réagir, grâce notamment aux trois placements soigneusement sélectionnés que j'ai détaillés dans ce message. Ils vous permettront de vous positionner sur des secteurs qui ont tous les atouts pour vous aider à surmonter la crise actuelle. Ce sont plus que de simples recommandations : ils constituent les véritables fondations de ma stratégie, les piliers sur lesquels appuyer votre argent dans la tempête qui menace.


Je vous enverrai également un e-mail quotidien sur l'actualité. Simple commentaire ou analyse plus poussée, il vous donnera des nouvelles de ma stratégie, et surtout vous aidera à réagir à tout ce qui peut affecter votre argent d'un jour à l'autre.


Je me permets d'insister sur l'importance de cet e-mail quotidien. Nous sommes dans un contexte très instable : le CAC 40 peut perdre 6% en une séance et en regagner 4% le lendemain... de nouvelles dégradations obligataires sont sans doute à prévoir... la situation de la Zone euro pourrait connaître des changements radicaux... et ainsi de suite.


Tous les jours, je vous dirai ce qui se passe. Je vous indiquerai quand il faudra agir rapidement (mais ne pensez pas que vous pouvez simplement laisser votre épargne à la banque... ou même la placer dans l'or... pour être en sécurité. Ce n'est pas aussi simple !)


En plus, tous les mois, vous recevrez par e-mail puis par courrier un bulletin complet de La Stratégie de Simone Wapler.


Vous y découvrirez :


- La "Grande Idée" du mois. Qu'il s'agisse de la sortie d'un pays de la Zone euro... des derniers chiffres de la croissance aux Etats-Unis... ou d'une nouvelle mesure de rigueur annoncée par notre Premier ministre, je commenterai et analyserai en profondeur ce qui me semble le plus important d'un mois sur l'autre.


- Commenter et comprendre, c'est bien... mais agir, c'est mieux. Chaque Grande Idée sera donc accompagnée d'un conseil concret, vous disant ce que vous devez faire maintenant. Ce qu'il faut vendre ou acheter, les placements qui nous semblent les plus adaptés à la situation... sans oublier que parfois, le plus sage consiste à ne rien faire. A chaque fois, je vous indiquerai la marche à suivre la plus adaptée à ma stratégie.


- Ce bulletin mensuel comportera aussi des indicateurs-clé : prix de l'or en euro, taux d'intérêt, immobilier en or, mesure fiable de votre pouvoir d'achat... Ils constitueront une aide précieuse pour jauger la situation économique et ainsi mieux orienter vos décisions d'investissement.






Et ce n'est pas tout. Pour vous souhaiter la bienvenue dans ce tout nouveau service, j'aimerais aussi vous offrir tout ce dont vous avez besoin pour mettre en place ma stratégie :


- Notre modèle d'allocation d'actifs idéale : grâce à cet outil, vous aurez tous les détails sur la part que je vous recommande d'allouer à chaque catégorie d'actifs. Vous pourrez ainsi comparer votre allocation d'actifs actuelle à ma stratégie afin de l'adapter en fonction de vos choix et de votre profil.


- Notre rapport sur la faillite de la France : il détaille trois investissements que vous devez faire maintenant ; selon moi, ces trois secteurs ont toutes les chances de non seulement survivre aux bouleversements actuels... mais aussi d'en sortir gagnants. Vous aurez tous les éléments nécessaires pour agir : le nom de chaque investissement, les raisons de mon choix, le seuil d'entrée... et jusqu'au code. Vous n'aurez plus qu'à vous positionner.


- Un rapport sur quatre manières d'avoir de l'argent disponible en dehors de votre banque : vous l'aurez compris, je considère que l'Etat prend en otage l'argent de ses citoyens. Il est indispensable vous protéger -- et cela passe aussi par des solutions alternatives vous permettant de conserver votre épargne en dehors du système. Après de longues recherches, nous avons retenu quatre solutions triées sur le volet : avantages, inconvénients, conseils pratiques... vous saurez tout pour éviter de vous faire "chyprer" vos économies.


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Je crois que je vous ai tout dit. Il ne me reste plus qu'à vous dire combien tout cela vous coûtera...


Rassurez-vous : ces conseils sont extrêmement précieux... mais il ne s'agit pas pour autant de vous faire payer une fortune.


Voyez-vous, j'estime que la situation est grave -- et que nous avons des réponses et des solutions concrètes à vous apporter pour vous protéger. Et je ne voudrais pas que quelques euros vous empêchent de profiter de mes conseils. Voilà pourquoi j'aimerais vous faire une offre très spéciale.



Tous ces avantages... et des conditions exceptionnelles


Le tarif normal de La Stratégie de Simone Wapler est normalement de 97 euros par an.


Mais en tant que nouveau lecteur, vous n'aurez pas à payer ce prix. Vous bénéficiez ensuite d'une réduction exceptionnelle de près de 50% sur le prix officiel, soit seulement 49 euros par an.


Pour profiter de cette offre, c'est très simple : il suffit de cliquer ici et de vous laisser guider.


D'ici quelques jours, vous commencerez à recevoir votre e-mail quotidien. Je vous enverrai également par e-mail vos trois cadeaux (le rapport La France va faire faillite : comment mettre votre patrimoine à l'abri, notre modèle d'allocation d'actifs, et le rapport Ne vous faites pas "chyprer" vos économies). Enfin, vous recevrez les bulletins mensuels de La Stratégie de Simone Wapler tous les premiers lundis de chaque mois par e-mail, puis par courrier.


Une fois que vous aurez reçu vos premiers messages e-mail et vos rapports spéciaux, je suis convaincue que vous reconnaîtrez immédiatement la différence qu'ils pourraient faire dans votre vie. Mais j'aimerais que vous puissiez y réfléchir avant de prendre une décision. C'est pourquoi je voudrais vous faire une offre très spéciale.


Voilà ce que je vous propose : vous disposez de trois mois pour examiner le tout avec notre garantie "Satisfait ou Remboursé".


Durant trois mois entiers, vous pourrez lire à votre rythme vos bulletins mensuels, recevoir vos e-mails quotidiens, découvrir La Stratégie de Simone Wapler dans tous ses détails, mettre en place les trois investissements de votre rapport spécial...


Je pense que La Stratégie de Simone Wapler ne tardera pas à démontrer toute son efficacité et surtout son importance pour vos investissements dans les conditions actuelles. Mais si cela n'était pas le cas, il vous suffirait de nous le faire savoir au terme des trois premiers mois : nous vous enverrons un remboursement intégral de la somme versée.










Vous pourrez découvrir votre nouvelle publication à votre rythme, et vous faire une idée de tout ce qu'elle pourrait apporter à vos finances, en toute tranquillité d'esprit.


Vous serez à même de prendre calmement et sans précipitation les meilleures décisions d'allocations patrimoniales. Là où les autres devront réagir dans l'urgence et subir les évènements, vous les verrez arriver et y serez préparés.


Par ailleurs, les Publications Agora appartiennent, je vous rappelle, à un groupe international. Tous les matins j'ai la chance de pouvoir ouvrir des dépêches de nos correspondants aux Etats-Unis, en Amérique du Sud, en Asie et en Australie.


Ce sont des gens comme moi-même, qui sont capables d'analyser l'information pour en tirer le meilleur profit et qui cherchent à avoir ce si précieux temps d'avance. Bulle immobilière en Asie, bulle sur les obligations souveraines américaines, marchés actions, ils passent tout au crible partout dans le monde et analysent minutieusement les risques.


Ce vrai réseau n'est pas dédié à la manipulation de marché, mais au contraire à la survie de l'investisseur particulier dans ce qui est sans doute la plus grave crise économique et financière qu'ait connue le monde.


Vous avez aujourd'hui une chance de profiter de toutes ses informations et conseils dans des conditions exceptionnelles : ne la manquez pas.


L'avenir de votre argent est en jeu.


Meilleures salutations,


Simone Wapler
Rédactrice en Chef
La Stratégie de Simone Wapler


PS : N'attendez pas pour nous renvoyer votre bon d'abonnement (page ci-contre) rempli et signé ! Vous recevrez rapidement par e-mail le rapport spécial La France va faire faillite : comment mettre votre patrimoine à l'abri. Il vous donnera des explications claires sur ce qui arrive... et un plan d'action précis pour vos investissements et votre patrimoine. Mettez-le en place sans tarder, parce que les choses sont en train de s'accélérer sur les marchés.


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Avertissement Important


Les chiffres mentionnés dans ci-dessus font référence au passé ou sont des prévisions. Les prévisions et les performances passées ne constituent pas des indicateurs fiables de résultats futurs.


Nos informations et conseils sont, par nature, génériques ; ils ne tiennent pas compte de votre situation personnelle et ne constituent en aucune façon des recommandations personnalisées en vue de la réalisation de transactions.


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1 commentaire:

Carlita a dit…

L'or cherche désespérément un guide ou un événement pour retrouver un nouveau souffle. Plusieurs tentatives de mouvement au cours de ces deux derniers mois n'ont rien donné car l'incertitude sur le calendrier de la hausse des taux de la Fed demeure et le dollar continue de fluctuer.